Etre végane n’est pas le meilleur régime pour la planète

Etre végane n’est pas le meilleur régime pour la planète

Des chercheurs américains ont comparé plusieurs alimentations de l’omnivore au végane et, contrairement à ce que l’on pourrait penser, le dernier n’est pas le plus eco-friendly, dans le cas où tout le monde s’y mettrait.
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Ndlr : Le véganisme n’est clairement pas un régime écolo. Biologiquement il est absurde et ses préceptes reposent sur des croyances qui ne le sont pas moins, mais je ne suis pas certain du tout que les végans le soient par conviction alimentaire.  Je pense que les végans sont des contestataires qui s’opposent politiquement à l’élevage industriel, à la pollution qu’il engendre, à la maltraitance animale. Il est une réponse sociale aux abus abominables dont sont victimes les animaux dans l’agriculture d’aujourd’hui. Et leur « organisation » n’est rien d’autre qu’un moyen de s’y appliquer et de l’avoir fait en secte apporte l’obnubilation nécessaire pour avoir la force de le faire.  Nous parlerons donc de végétalisme, qui eux ne mangent pas de produits animaux par conviction, mais possèdent volontiers des objets en matière animale.  En tous les cas, il n’y a pas d’agriculture sans élevage, donc pas d’agriculture sans consommation d’animaux, c’est vite vu. Les animaux occupent les surfaces inaptes aux cultures, fournissent une force motrice, engendrent de l’engrais, consomment les excédents agricoles, etc…etc…  C’est l’élevage industriel qui est en trop. Il ne répond à aucun de ces critères. Nous consommons beaucoup trop de viande, ce qui implique des élevages concentrationnaires consommant énormément de ressource, polluant à outrance et offrant des conditions de naissance, vie et mort aux animaux qui sont tout simplement immorales.  Nous produisons également tellement de lait que les industriels doivent faire preuve d’ingéniosité pour trouver des moyens de le consommer dans des recettes plus ou moins dégueulasses, quand ce n’est pas dans l’industrie textile ou même du carburant. Nous élevons des animaux dans des élevages concentrationnaires pour produire des millions de tonnes de lait de merde dont on ne sait pas que faire et qu’on transforme en carburant ou en t-shirts, il y a quand même de quoi se poser quelques questions.  Mais ce type d’élevage est –relativement– récent et va disparaître avec l’émergence des protéines synthétiques et le marché ne veut plus du lait. Les producteurs de lait peuvent se battre tant qu’ils veulent, leur merde on en veut plus, le marché n’en veut plus. Ou ils s’adaptent, ou ils périssent, c’est normal.

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