« Trois vérités qui dérangent pour ceux qui veulent résoudre le problème d’embouteillages »

« Trois vérités qui dérangent pour ceux qui veulent résoudre le problème d’embouteillages »

« Les embouteillages sont le meilleur allié pour obtenir ce qui est nécessaire: un changement de comportement », écrit le professeur en ingénierie de la circulation Willy Miermans (Université de Hasselt). « Il n’y a pas de solution indolore pour le problème de bouchons, quel que soit l’empressement des politiciens à ménager la chèvre et le chou. »
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Ndlr : Le bon sens belge près de chez vous…  C’est l’évidence même. Nous le vivons en ce moment même à Paris où les articles et les études défilent en disant que la fermeture des berges a crée des bouchons.  Non, ce sont les automobilistes qui ne s’adaptent pas qui créent les bouchons. Et il faudra bien qu’ils le fassent, parce que ce n’est pas la « gauchiasse bobo Anne Hidalgo » le problème, n’en déplaise à ses détracteurs. Au contraire, elle fait un excellent travail et si c’était quelqu’un d’autre il ferait pareil, parce que dans peu d’années, il n’y aura plus du tout de voitures en centre-ville (du coup, il n’y aura plus de bouchons).  Une autre conséquence attendue est l’activité au centre-ville. Les boutiques ferment les unes après les autres, transformant les villes en cités-dortoir. Mais les loyers hallucinants des locaux commerciaux s’effondrent et alors peuvent émerger de nouvelles activités qui n’auraient jamais permis de financer un tel loyer, des activités plus proche de l’humain, générant une autre ambiance, transformant les centre-ville, les faisant passer de lieux de shopping à lieux de vie.

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