La consommation de viande de nos amis à fourrure aurait un impact écologique désastreux : l’équivalent de 13,6 millions de voitures rien que pour les États-Unis.
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Ndlr : Moi je veux bien avoir des poneys… mais en plus de mes chiens et de mes chats. Cela dit, il y a longtemps qu’on le sait que nos animaux de compagnie sont gourmands et font des ravages. Et à ce titre tout est fait pour nous dissuader d’en avoir. Entre la politique du chat unique, le permis d’avoir un chien, la taxe sur les chiens, les contraintes sur les plus gros, leur interdiction dans les transports publics, etc… on fait tout pour que les gens n’aient plus d’animaux, c’est clair. Et d’ailleurs leur nombre est en chute libre. En Suisse, le nombre de chiens et de chats a été littéralement divisé par deux en trente ans. Et si on mesure par la masse biologique qu’ils représentent, c’est au moins encore deux fois plus de baisse. En France c’est aussi largement le cas, à Toulouse, Tarbes, Albi, on voyait des punks avec des troupeaux de chiens il y a 20 ans. Deux ou trois avaient une bonne douzaine de chiens qui leur tournaient autour. Désormais c’est terminé, ça ne se voit plus et de toute façon c’est interdit et on est même limité à un certain nombre de chiens chez soi. C’est l’oppression qui s’installe pour faire place à l’humain.