Le choc de compétitivité menace les campagnes françaises. Les éleveurs l’affirment : ils ne luttent pas à armes égales contre leurs collègues allemands. Explications.
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Ndlr : Ha, en Allemagne, avec leurs bataillons d’esclaves à 3.89 de l’heure qui bossent comme des damnés même au-delà de leurs heures de travail normales sans être payés en plus sous peine d’être virés, forcément…Dans un métier où le salaire des acteurs de la chaîne représente une grosse part du coût marginal, des esclaves sont un avantage considérable. A lire pour se rendre compte de la réalité : http://sco.lt/7RGYJl ;Du coût (oups, du coup) les éleveurs allemands peuvent produire la même merde que les français, elle se vendra et le prix qu’ils en récolteront leur permettra de tourner. C’est juste de la concurrence déloyale.Si on ajoute à cela la taille des exploitations françaises et leur fonctionnement anachronique… Lorsqu’une exploitation est avant-gardiste et produit même une avancée dans le respect de l’animal eu égard à l’élevage moyen, comme la Ferme des 1000 vaches, on lui tape dessus. Elle devait en avoir 1000, on la contraint à se limiter à 500 et comme elle en a 800 on va lui mettre une amende. Par contre, personne n’aurait l’idée de contraindre les épouvantables élevages en hangars clos, les plus nombreux, à évoluer pour produire de la meilleure qualité et ainsi faire de la filière française une filière d’excellence. Donc on veut combattre les importateurs en produisant la même merde qu’eux, mais sans s’optimiser comme eux….C’EST RIDICULE!