En Afghanistan, Basir est menacé de mort par les talibans pour avoir servi l’armée française. En France, il se voit refuser le dépôt de sa demande d’asile car il est « dubliné ».
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Ndlr : La France n’en est pas à son coup d’essai. A la libération de Paris, les forces étaient constituées surtout de gens au teint un peu trop foncé, De Gaulle les a remplacés pour « que le cortège soit bien blanc ». Après l’Algérie, la France a tout bonnement refusé de sauver les harkis, qui se sont faits massacrer. On ne peut pas dire que la France s’inquiète du sort de ceux qui la servent dans ses actions belliqueuses s’ils sont étrangers. Par contre, qu’un soldat bien français meurt dans un accident de moto à l’autre bout du monde en rentrant d’une permission, on lui rend les honneurs nationaux.