Cobotique, la rencontre du collaboratif et de la robotique

Cobotique, la rencontre du collaboratif et de la robotique

« La cobotique vise à produire des robots assistant les humains, en automatisant une partie de leurs tâches », explique Camille Pène, directrice de la conférence FUTUR.E.S. Lors d’un événement consacré à la cobotique, elle a donné à quelques entreprises l’occasion de présenter leurs cobots, ces robo
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Ndlr : Une vision violemment restrictive de l’avenir. Cet article relève d’un propos profondément pathologique qui mène à la morosité socio-économique par rejet du progrès. Je ne sais pas qui est « l’équipe de rédaction » de Hello Open World, mais ce serait plutôt « Bye Future World », avec des visions pareilles.   De fabriquer sciemment des cobots aux capacités limitées, c’est se refuser la croissance et le développement sociétal qu’apportent le progrès.   Si les cobots visent à soulager l’humain dans une tâche que des machines ne sauraient pas réaliser seules, alors ils sont un progrès considèrables.   Si les cobots visent à collaborer avec l’humain plutôt que le remplacer par des robots qui pourraient assumer sa tâche à sa place, alors ils sont ce qui peut arriver de pire à notre société avec le partage du travail.   Le travail doit être libéralisé au maximum, faisant que les uns s’approprient le travail en travaillant autant qu’ils le souhaitent, libérant les autres qui deviennent disponibles pour de nouvelles fonctions socio-économiques du capitalisme cognitif. Des mesures sont prises pour que ceux qui n’ont plus de travail soient assurés d’être maintenus actifs, autrement dit qu’ils aient de quoi vivre sans emploi, un revenu de base garanti. En parallèle un environnement d’économie collaborative, constitutif d’intelligence collective démocratique est mis en place. Ce qui permet non seulement de rendre productifs ceux qui n’ont plus d’emploi, tout en générant de nouvelles sources productives, de faciliter le financement des entreprises locales grâce au financement participatif et, enfin, de transférer le revenu du travail vers la contribution économique directe.   Pour cette raison, il faut inciter à créer des robots les plus aptes à remplacer l’humain et organiser le travail de manière à l’adapter aux robots pour permettre le plus de remplacement possible. De sorte que la robotique, plus elle est avancée, plus elle est source de valeur ajoutée et donc de création de richesse. Alors que plus l’humain est débarrassé du travail, plus il est à l’origine de nouvelles sources productives par sa contribution économique directe.   Ainsi, moins il y a d’emplois et plus il y a de robots, plus il y a d’activité, de création de richesse, d’écologie et la misère est abolie dans une société plus démocratique offrant plus d’autonomie et de qualité de vie à tous.

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