Un désherbant à base… d’eau de pluie

Un désherbant à base… d’eau de pluie

[ Lire plus… ]

Ndlr : Ca a toujours existé. Quand j’étais gamin l’herbicide n’existait pas encore ou du moins il n’était pas généralisé. Les cantonniers détruisaient les mauvaises herbes avec une cuve en acier et un feu au mazout en-dessous. Une grosse pompe à dos à brûleur sur un camion, quoi. Un gars était sur le pont et s’occupait de la machine, un au volant et un à pied qui désherbait.   Lui a rendu tout ça plus petit et électrique. Mais le procédé reste évidemment le même. Le problème de ce système est qu’il déplace le problème des pesticides vers la consommation d’énergie, parce que quel que soit le système de chauffage, pour chauffer de l’eau il faut des quantités phénoménales d’énergie.   Il faudrait à minima que les machines soient équipées d’un concentrateur solaire et qu’elles fassent le plein d’eau préchauffée à l’énergie solaire pour être plausibles. Même en rechargeant les batteries avec des panneaux photovoltaïques, on est pas aussi propres qu’avec des panneaux thermiques, bien plus simples et moins polluants et, surtout, au moins 5x plus puissants.   Le concept est bon, mais il faudrait développer l’environnement qui va autour. Idéalement, les batteries ne devraient servir qu’à la propulsion du véhicule.

Short link : https://lmc.today/gstl