Des salariés kényans sous-payés permettent à ChatGPT d’exister et ça n’a rien d’étonnant
Pour rendre les réponses du chatbot moins toxiques, des travailleurs kényans payés moins de 2 dollars par heure labellisent des propos violents et autres atrocités, révèle le Time. Un problème systémique à l’industrie de l’intelligence artificielle. [Lire plus...] Ndlr : Je m'oppose au propos qu'ils…