Robert Bourgi a voulu faire tomber le candidat LR qui avait, selon lui, « violé toutes les règles de l’amitié ».
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Ndlr : Et là il termine le boulot ! « Bourgi passe commande chez le tailleur Arnys, une boutique célèbre de la rive gauche, de deux costumes à la mesure du candidat en novembre. Fillon, vraisemblablement ravi du cadeau puisqu’il les porte, ne remercie pas son généreux donateur, malgré tous les textos que lui envoie Bourgi pour « le voir dix minutes ». » Eh bien rien qu’avec ça on sait qui était en réalité Fillon. Il devait savoir ce qu’allait lui demander Bourgi qui n’était probablement pas piqué des vers pour des cadeaux pareils, ce qu’on peut comprendre. Il n’en reste pas moins que quand on pense que tout le monde le croyait droit dans ses bottes, son image de marque était la rectitude. Un incommensurable opportuniste que rien n’arrête, oui. Qu’il ne veuille pas rendre service à son ami si le service est insupportable, c’est une chose, mais alors il ne faut pas accepter le cadeau. « Heureusement qu’il n’a pas été président de la République, c’est un triste sire. Vous allez vous faire rembourser les frais de mariage de vos enfants ? Et la chambre d’étudiant de votre fils ou de votre fille ? C’est un triste sire, tout le monde a été choqué ! » Oui, ça c’est INOUÏ ! C’est inconcevable, quelle famille de rapiats. Des rapiats bigots qui pètent plus haut que leur cul. De fait, François Fillon sait bien pourquoi il a quitté la politique. Lui, il sait ce qu’il y a à sortir encore derrière.