Malgré l’effet de mode, l’abeille des villes ne remplacera pas celle des champs

Malgré l’effet de mode, l’abeille des villes ne remplacera pas celle des champs

Quelques ruches fleurissent sur les toits des bâtiments urbains. Mais ces initiatives, relevant de l’effet de mode, ne pourront pas rivaliser avec les apiculteur
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Ndlr : L’apiculture elle-même est à l’origine de la mort des abeilles. Mais ces dernières années une prise de conscience de plus en plus forte des apiculteurs a émergé et des méthodes de plus en plus respectueuses de la biologie de l’abeille sont mises en place. Certains vont même jusqu’à ne pas prélever de miel dans certaines ruches pour maintenir une réserve génétique.  Le dernier point qu’il reste à résoudre pour que la mortalité des abeilles revienne à un taux acceptable est donc bien celui des pesticides.  Mais un fait est clair, quelle que soit la densité d’abeilles dans les villes, elle ne sera toujours qu’anecdotique sur la population globale.  Il est plus que temps de mettre en place une agriculture capable de se passer, autant que faire se peut, de pesticides.

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