Les marchés étaient en baisse lundi en Asie, l’euro limitant provisoirement ses pertes, sous l’effet du non grec au référendum sur les exigences des créanciers d’Athènes qui fait craindre une sortie du pays de la zone euro.
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Ndlr : Après les premières conséquences avant le référendum, comme la hausse des intérêts sur les dettes espagnole, italienne, portugaise, française et allemande dans une moindre mesure, ainsi que la baisse des bourses la semaine précédente, nous avons là une continuation des conséquences, et ce alors même que le Grexit ne s’est pas encore produit. Les investisseurs étrangers en Europe sont déjà suspects d’avoir fait des mauvais choix en raison de l’instabilité européenne. Ce n’est qu’un signal de ce qui pourrait se produire en cas de sortie de la Grèce et donc de la perte de crédibilité de l’UE, incapable de soutenir l’un des siens pourtant de taille ridicule. Il faut être clairs avec ça, si la Grèce n’est pas aidée, c’est la fin du monde. Et les agissements actuel de l’Europe lui coûtent autrement plus cher que n’importe quelle aide à la Grèce qui ne demande d’ailleurs pas grand-chose. http://lemondeenchantier.com/blog/grece-ce-netaient-pas-des-gesticulations-demagogiques-et-sils-osaient/