Harcèlement. En larmes, Brigitte Lahaie s’excuse et précise ses propos

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Ndlr : Encore un bel exemple de nimportequoitisme. Mais comment a-t-on pu l’accuser d’avoir minimisé ou légitimé le viol, comme j’ai pu le lire ?   Encore dans cet article on peut lire « elle maintient sa position au sujet du plaisir qui peut être éprouvé lors d’un viol. » !! C’est incroyable, c’est au mieux de la bêtise, au pire de la diffamation.  Elle n’a JAMAIS dit qu’on pouvait éprouver du plaisir lors d’un viol. La jouissance n’a rien à voir avec le plaisir. Et c’est cette confusion ridicule qui relève de l’inculture générale qui a généré cette hystérie collective qui a amené à cette tribune polémique sur le « droit d’importuner ».   La jouissance est purement mécanique, elle n’est que physiologique, elle ne dépend aucunement ni de l’environnement ni des circonstances, on peut faire jouir à tout moment aussi bien un homme qu’une femme. Il suffit de titiller la zone érogène qui va bien et c’est l’orgasme.   Alors que le plaisir, lui, est psychologique, il ne dépend au contraire que de l’environnement et des circonstances qui doivent être agréables, mais il ne nécessite nullement de jouir pour en avoir. Pour illustrer, quelqu’un, aussi bien un homme qu’une femme, pourra avoir l’orgasme de sa vie et bien moins éprouver de plaisir que sans orgasme du tout lors d’un rapport sexuel.  C’est Caroline De Haas, plus hystérique que féministe, qui a sorti une énième bêtise en parlant de « droit à la jouissance » et Brigitte Lahaie l’a reprise en rappelant qu’on peut jouir lors d’un viol, ce qui est vrai. Et c’est un drame, parce que ça peut induire un double traumatisme faisant que la victime va culpabiliser non seulement de son viol, mais en plus d’y avoir joui.   Ce débat a l’avantage de mettre également sur la table la stupidité généralisée autour de ce sujet si longtemps tabou jusqu’à tout récemment dans l’Histoire de l’humanité et qui l’est encore pour beaucoup.