Brexit Noise Drowns Out London’s Cry for Help

Britain’s working poor fall further behind as leaving the EU becomes a political obsession. [Lire plus…]

Ndlr :L’autre reflet du prétendu dynamisme économique britannique. En réalité des masses de pauvres sous contrats d’esclavage, les fameux « Zero hour contracts ». Et si cette population victime de ces contrats n’a pas particulièrement augmenté depuis le Brexit, en revanche elle s’est considérablement appauvrie. Et ce alors que les miséreux de Manchester ou Liverpool, toujours victimes de la politique Tatchérienne, eux aussi se sont considérablement appauvris. Depuis le vote sur le Brexit la croissance est bien plus basse qu’attendu. Le Royaume-Uni attendait une croissance mirobolante de 2,7% et il en avait besoin pour son système de santé et réduire sa pauvreté. Avec une croissance de 1,8%, il manque tout bonnement 25 milliards dans la caisse… et ce ne sont pas les riches, qui ne se sont jamais autant enrichis qu’aujourd’hui, comme partout, qui les assument ! Non, ce sont les pauvres, évidemment, qui les assument au travers de la baisse des aides sociales, de la non-augmentation de leurs maigres salaires face à une inflation galopante à cause du Brexit, l’effondrement du NHS, le système de santé britannique, etc.

Vous me direz, en France aussi on a des soupes populaires, comme les Restos du Coeur. Oui, mais là on parle de gens qui ont un emploi, des travailleurs, pas de misérables chômeurs à la rue ou presque. Il s’agit de gens qui travaillent, qui ont un salaire, souvent plusieurs jobs.

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