Scientists have used AI to design bacteriophages, or viruses that infect only bacteria. Does the prospect of designing viruses with AI pose threats to biosecurity? (Lire plus…)
Ndlr : C’est peut-être le plus grand risque de l’IA, parce qu’elle est discrète. Si elle permet de réaliser un robot tueur, c’est une machine qui se voit, qui se sait. Mais à l’heure où n’importe quel biologiste bidouilleur doté de ciseaux génétiques peut faire à peu près n’importe quoi dans son garage, doté d’un simple smartphone l’IA pourrait lui donner les clés d’un assemblage des plus dangereux que certaines nations seraient intéressées à posséder. Imaginez des virus ultramortels, programmés pour ne cibler que des individus disposant d’un gène caractéristique, selon leur sexe, leur couleur de peau, leur lieu de vie ou même leur caste sociale. Ca paraît encore assez utopique aujourd’hui, mais en réalité c’est un vrai risque qui va très rapidement devenir prégnant.
