L’idée peut paraitre farfelue, voire ridicule, mais force est de constater qu’il est impossible de prouver son contraire. Actuellement, cette théorie est étayée par les travaux d’une philosophe australienne. Sommes-nous dans une sorte de matrice contrôlée par une entité voulant nous contrôler ? La philosophe Laura D’Olimpio semble être une personne tout à fait sérieuse, titulaire d’un doctorat à l’université de Notre-Dame d’Australie, située à Fremantle (Australie-Occidentale). Sa thèse portait sur l’impact moral causé par les œuvres d’art de masse dans la société. Laura D’Olimpio est également à l’origine de publications régulières dans le Journal of Philosophy ainsi que dans d’autres médias par exemple The Conversation, qui a désormais sa déclinaison française. Il y a quelques mois, Elon Musk, l’excentrique …