Les dirigeantes demandent plus souvent l’avis de leurs collaborateurs que leurs homologues masculins, selon un sondage Qapa. Quand elles se trompent, dans un tiers des cas elles le prennent bien et tiennent compte de l’avis de leurs équipes pour rectifier le tir. À peine plus d’un dirigeant masculin sur 10 est dans le même cas.
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Ndlr : C’est l’évidence même. Les femmes sont plus pugnaces et patientes pour atteindre leurs objectifs. Ce n’est pas pour rien qu’en pleine crise après 2008 sur les 100 PME qui connaissaient le plus de croissance seules une petite douzaine était dirigée par des hommes. Moins triturées par leur égo que leur testostérone leur contraint d’affirmer face à une prétendue concurrence, elles tolèrent la critique, échangent plus, l’ambiance est globalement meilleure. Pour ma part, je préfère largement avoir affaire aux femmes… On notera au passage que ça exprime le vrai potentiel en termes de croissance qu’il y aurait à gommer totalement et définitivement l’inégalité de genre.