La dette mondiale a atteint un niveau record de 312 000 milliards de dollars à la fin du deuxième trimestre, sous l’effet des emprunts contractés aux États-Unis et en Chine, tandis qu’un ratio d’endettement clé dans les marchés émergents a également atteint un nouveau sommet, selon les données d’un groupe de commerce bancaire. [Lire plus…]
Ndlr : Un titre qui exprime à lui seul la vacuité des idées aujourd’hui. La transition écologique avec l’inversion du réchauffement climatique n’est pas un problème, mais la solution à l’endettement qui ne se produit qu’en raison de l’acharnement du monde développé à faire travailler absolument la population, ce qui mène l’humanité bien plus sûrement à sa perte que le réchauffement climatique. Parce qu’en agissant ainsi, tous les pays courent à la faillite. Comme les pays avancés phagocytent les investissements privés pour maintenir l’emploi sur leur sol à grands coups de subventions par la dette souveraine, les pays sous-développés, privés de ces investissements privés se retrouvent contraints à la dette publique. Tandis que les pays émergents contraints de lutter contre les économies avancées, confrontés à leur économie en surchauffe (je veux parler bien évidemment de la Chine, typiquement), doivent consentir à un surendettement pour financer le développement des infrastructures au fur et à mesure de leur développement économique. On voit que d’agir ainsi tire tout le monde vers le bas, alors que si nous allions chercher notre croissance non plus dans notre production industrielle sur notre sol, mais dans les investissements chez nos partenaires et l’industrie de lutte contre le réchauffement climatique, nous retrouverions de la croissance tout en tirant tout le monde vers le haut.