De 4,40 à 42 euros, le grand écart du coût horaire du travail au sein de l’UE

De 4,40 à 42 euros, le grand écart du coût horaire du travail au sein de l’UE

Eurostat souligne les disparités qui existent entre les pays membres de l’Union européenne en matière de coût du travail. La France se situe à la cinquième place d’un classement toujours dominé par le Danemark.
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Ndlr : Pour ma part, c’est un très grand avantage auquel il ne faut pas renoncer sous prétexte d’aplanir l’économie européenne. Au contraire, il faut laisser les choses se faire naturellement et accepter une plus grande intégration européenne. Ainsi nous disposerons sur notre propre territoire de la possibilité de délocaliser tout en créant nos futurs nouveaux marchés sans ingérence dans l’évolution naturelle.  Il faut donner autant que possible les moyens aux pays en émergence de s’élever, à notre profit, en nous faisant bénéficier des coûts de production moindres et accélérer chez nous le développement de l’industrie du futur, plus technologique, à bien plus forte valeur ajoutée qu’il faudra mieux redistribuer, peu génératrice d’emplois, mais mettre en place un environnement d’économie collaborative permettant d’exploiter le capital cognitif de ceux qui n’ont plus de travail.  Et c’est à ces conditions-là que cette dichotomie économique sera favorable à tous et que nous retrouverons de la croissance. En exploitant ces pays à bas coût, nous les éleverons sans qu’ils nous coûtent, ils nous rapporteront et en développant notre nouvelle production à forte valeur ajoutée, ils bénéficieront des retombées de notre croissance retrouvée grâce à une plus forte intégration européenne.

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