Comment les entrepreneurs sociaux transforment le parcours des migrants

En 2015, le nombre de demandes d’asile déposées par des citoyens non ressortissants de l’Union Européenne a atteint un pic : 1,3 million de personnes (données Eurostat) ont fui les conflits ou la misère au péril de leur vie pour entrevoir un avenir meilleur en Europe. Cinq ans auparavant, ils étaient quatre fois moins nombreux. Devant l’augmentation du nombre de demandeurs d’asile, de nouveaux besoins d’action se sont fait jour, comme la nécessité d’assurer des conditions de vie décentes aux personnes déplacées, de garantir leur intégration économique et leur capacité à créer des liens socioculturels avec les communautés d’accueil. [Lire plus…]

Ndlr : Ben ouais ! C’est sciemment, scrupuleusement, oublié, mais les réfugiés sont les meilleurs. Autant parce qu’ils ont réussi à fuir pour ceux qui fuient la guerre, que parce qu’ils ont été choisis par les leurs pour aller chercher fortune ailleurs et sont parvenus jusque chez nous au péril de leur vie.
Nous ne pouvons évidemment pas héberger toute la misère du monde. Mais nous avons le devoir d’accueillir toute la misère du monde. Tant qu’il périra un réfugié quelque part sur la route de l’exil, notre devoir ne sera pas accompli. Et il nous appartient à nous d’inventer le modèle qui permettra de les exploiter, au bénéfice de tous et à leur avantage en profitant de leur courage et leur détermination, pour leur offrir ainsi un avenir ainsi qu’à leurs proches.
Et c’est facile… les seuls freins sont la haine et le mépris.

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