Après une phase de déni, Facebook reconnaît enfin être devenu un vecteur de propagande politique

Après une phase de déni, Facebook reconnaît enfin être devenu un vecteur de propagande politique

Alors que la lutte contre les « fake news » se poursuit, le premier réseau social du monde reconnaît s’être transformé en un espace fertile pour le
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Ndlr : Il est temps de cette prise de conscience, de ne plus sous-estimer la responsabilité des réseaux sociaux dans la diffusion des populismes mortifères.  Le populisme, ce n’est pas de la démocratie, c’est de l’ochlocratie.

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