En France métropolitaine, plus de 10,4 millions de maisons individuelles sont potentiellement très exposées au phénomène de retrait-gonflement des sols argileux (RGA), dont près de la moitié bâtie après 1976. Les sécheresses fréquentes et intenses connues depuis 2015, sous l’effet du changement climatique, ont contribué à l’extension du phénomène et l’augmentation du coût de la sinistralité du bâti exposé. [Lire plus…]
Short link : https://lmc.today/6our