Parviendrons-nous à mettre fin à l’extrême pauvreté d’ici 2030 ? Pourrons-nous éviter les pires conséquences du changement climatique ou stopper l’épidémie d’Ebola ? Tels sont quelques-uns des défis les plus difficiles auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. En 2014, le Groupe de la Banque mondiale a mobilisé ses connaissances, ses moyens financiers et son influence pour s’atteler aux problèmes de la planète. 1) Agir pour la croissance économique Après la crise financière internationale, les pays en développement sont devenus les moteurs de l’économie mondiale. Mais l’année 2014 a apporté son lot de nouvelles menaces : essoufflement de la croissance, baisse des financements et recul du prix des matières premières. À deux reprises, en janvier et en juin, la Banque mondiale a exhorté les pays en développement à assainir leur situation. Les pays ont besoin de projets pour maintenir une croissance capable de faire reculer de pratiquement de moitié la pauvreté extrême dans le monde en l’espace de quelques décennies. Selon le rapport semestriel Perspectives économiques mondiales, avec l’atténuation des effets de la crise financière, le moment est venu pour les pays en développement de renforcer leurs économies afin de poursuivre le combat contre la pauvreté. Les pays en développement ont besoin de solides programmes pour soutenir la croissance Infographie : la croissance mondiale (a) Article : Djibouti prépare son avenir en sollicitant l’avis de ses pairs