Pour Lagarde, « la féminisation de la finance n’est pas une option, c’est une nécessité ! »

Pour Lagarde, « la féminisation de la finance n’est pas une option, c’est une nécessité ! »

Christine Lagarde prendra le 1er novembre la tête de la Banque centrale européenne (BCE). A 63 ans, l’ex-présidente du FMI est la briseuse de plafonds de verre par excellence. Cette militante de l’égalité femmes-hommes au franc parler qui détonne dans ce milieu compassé livre en exclusivité à La Tribune ses convictions sur les moyens de faire progresser la mixité dans la finance. Propos recueillis par Delphine Cuny.
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Ndlr : Sous condition d’en profiter pour installer des femmes modernes, bien sûr. D’avoir des Christine Lagarde partout ne serait pas réellement une avancée.

Mais fondamentalement, on ne peut que souhaiter la féminisation de tous les secteurs qui n’a que des avantages. Même dans son cas ça reste un avantage certain. Par rapport à ses homologues, la féminité de Christine Lagarde fait qu’elle est capable de revenir sur ses erreurs et d’en parler au lieu de s’y enferrer pour noyer le poisson. Et ça, c’est déjà énorme.

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