Peut-on sauver la planète sans mettre la démocratie en péril ?

Peut-on sauver la planète sans mettre la démocratie en péril ?

« Dans cinq ans, on verra des politiques extrêmes sur le climat ». Ole Wæver, l’un des plus grands chercheurs en politique internationale, nous dresse le portrait d’un monde où le climat est un enjeu sécuritaire, entre interventions de l’ONU et géo-ingénierie.
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Ndlr : De penser qu’il faut une politique totalitaire pour sauver la planète, c’est manquer singulièrement de vision et donc ne pas être expert du sujet.

C’est la démocratie et le libéralisme qui sauveront le monde, la liberté de dépolluer. Le peuple est foncièrement écolo. S’il pollue c’est parce que le système cherche à préserver l’emploi et l’industrie traditionnels. Si le peuple avait le choix, il ne polluerait plus.

L’exemple type est le carburant, on sait produire du carburant totalement neutre à base de CO2 et de soleil, autrement dit on sait faire rouler les véhicules thermiques à l’énergie solaire. Au lieu de ça on a du pétrole dans les pompes, le peuple n’a pas le choix, il doit mettre du pétrole. Et pour préserver le pétrole il faut le sanctionner pour qu’il en consomme moins. Si on ne cherchait pas à favoriser le pétrole et l’industrie et la géopolitique qu’il y a autour, on pourrait avoir un carburant propre dans les pompes. et comme l’industrie de la production de carburant neutre est parfaitement rentable, si le public avait le choix, il soutiendrais cette option.

On peut aussi penser au nucléaire, la politique décrète que le nucléaire est indispensable et soutient une propagande comme telle. Si nous avions un système beaucoup plus démocratique et libéral, nosu verrions partout des initiatives locales pour générer des centrales thermosolaires ou houlomotrices sur la côte.

Et c’est comme ça pour tout : comme les options imposées par les politiques ne sont pas écologiques, la seule option possible est de réprimer leur consommation. Débarrassons-nous des politiques du vingtième siècle pour avoir le système politique du vingt-et-unième siècle et la question ne se posera plus, nous aurons une société profondément écologique d’opulence, avec une croissance restaurée, plus démocratique, reposant sur la dépollution de l’environnement.

L’anthropie est la richesse du vingt-et-unième siècle, un tel paradigme est inconcevable pour un politique actuel et donc, fatalement, à part la dictature, il n’aura jamais de solution. Le problème est que ceux qui ont des choses à dire ne sont pas entendus par les médias, qui soutiennent les politiques et ceux qui les servent, comme Greta Thunberg, qui est un instrument utilitaire pour permettre d’envisager ce totalitarisme qu’ils préparent.

« Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé » J.F. Kennedy

Une mouvance citoyenne naissante nous apportera la solution, à Courant Constructif, nous sommes ceux-là. Nous avons l’intégralité des réponses sociales, sociétales, économiques et écologiques pour une société beaucoup plus libérale et beaucoup plus favorable à l’épanouissement personnel qu’aujourd’hui avec la perspective d’inverser le réchauffement climatique.

http://courantconstructif.com

« La croyance que rien ne change provient soit d’une mauvaise vue, soit d’une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat. » John Meynard Keynes

« À certains moments de l’histoire il se trouve des gens suffisamment intrépides pour parier que d’autres les suivront. Si nous parvenons à comprendre cela, nous pourrions bien faire le premier pas. C’est déjà ce qui est arrivé dans l’histoire récente, un nombre incalculable de fois. » André Gide

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