Le poids de l’économie collaborative sur les emplois et les revenus

Le poids de l’économie collaborative sur les emplois et les revenus

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Ndlr : Eh bien moi je me bats contre cette notion absurde d’économie collaborative. De considérer qu’un client d’Über (un chauffeur, donc, les passagers sont les clients du chauffeur qui n’est rien d’autre qu’un revendeur d’Über, donc le client) ou d’Airbnb « collabore » est pour le moins un peu fumeux. Et encore plus pour Ikea où là on considère le fait que le client final monte lui-même son meuble comme de l’économie collaborative, alors que le meuble a dû être développé spécifiquement pour cela et bénéficie d’un merchandising adapté. Ce n’est pas un produit standard vendu non monté, ce qui permet d’économiser une partie du coût marginal de production. Non, c’est un produit spécifique, dont le coût est très similaire à celui d’un produit fini. Le bénéfice va à Ikea, pas à l’acheteur (à propos, pour ceux qui ne le sauraient pas, Ikea, ça veut dire : Ingvar Kamprad, Entreprise d’Ameublement). Ces entreprises ne représentent pas l’économie de l’avenir. Elles en sont les prémices en donnant l’exemple de ce qu’il faut faire aux futures communautés qui monteront leurs propres organisations dont elles seront alors elles-mêmes bénéficiaires. http://thierrycurty.fr/economie-partagee-pas-encore-positive/ ;

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