Le mini drone star du crowdfunding désenchante ses contributeurs

Le mini drone star du crowdfunding désenchante ses contributeurs

L’entreprise qui a lancé la production de petits drones qui tiennent dans la main grâce au financement participatif a fait faillite. Les investisseurs sont le bec dans l’eau. Une mésaventure qui aurait pu être évitée?
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Ndlr : En réalité, c’est Kickstarter qui a raison et agit bien et Ulule qui agit mal, en compromettant tout simplement le concept même de financement participatif. La plate-forme n’a pas à vérifier les infos, c’est aux backers de le faire, de croire en un projet. Cette attitude visant à systématiquement foutre en l’air les concepts est typiquement française. Il s’agit de mettre des barrières, d’empêcher de passer, de faire chier par tous les moyens. LE RISQUE NE DOIT PAS COMPROMETTRE LE PROJET ! Le risque doit être assumé en premier lieu par le système économique lui-même, par le coussin du levier du multiplicateur de crédit. C’est là que le crowdfunding pèche, on limite l’accès au financement des projets en raison du risque supporté par les backers parce que le système économique ne les protège pas et détruit donc de la richesse. Cette startup s’est plantée? C’est regrettable, mais elle a tenté l’aventure et des plantages, il y en aura toujours, environ 1.5%, c’est ainsi et c’est là que nous atteignons les limites du crowdfunding 1.0 qui ne protège pas l’investisseur. La solution est dans le crowdfunding 2.0 qui doit intégrer la création monétaire : http://soyons-AMI.fr ce qui permet, de surcroît, de faire que les plate-formes de crowdfunding ne prennent plus des agios sur les investissements, vivant de leurs propres investissements, ce qui constitue un effet de levier qui vient s’ajouter au levier de la création monétaire. Le crowdfunding 1.0 n’a pas réellement d’avenir et il commence à se heurter aux limitations dont je parlais dans mes articles sur mon site et Le Cercle Les Echos il y a déjà pas mal de temps.

Short link : https://lmc.today/8uo6