Le gouvernement japonais s’inquiète de la sexualité en berne de sa population

Le gouvernement japonais s’inquiète de la sexualité en berne de sa population

Le gouvernement japonais est très préoccupé par la sexualité au ralenti de sa population. En déclin démographique, le Japon peine à rétablir le contact entre hommes et femmes et la situation devient de plus en plus problématique. Au pays du soleil levant, presque un tiers de la population n’aurait aucune relation sexuelle. Pire, les « pratiquants » sont parmi les moins actifs du monde, puisque le Japon se place en dernière position (si l’on ignore la Principauté de Monaco) du classement mondial du taux de natalité (8,07 enfants pour 1000 femmes en 2014). Dans ce pays champion de l’abstinence sexuelle, 40% des célibataires ne souhaitent pas de relations amoureuses et 40% des couples déclarent ne plus avoir de relations sexuelles après la naissance …
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Ndlr : Ca me fait toujours rire cette hystérie humaine à vouloir se surpeupler à tout prix, jusqu’à la destruction dans le cas du Japon qui a déjà 350 habitants au km², soit trois fois plus que la France et ce alors que l’espérance de vie va exploser, impliquant évidemment une réduction des naissances.   C’est le système économique qui doit être adapté, pour que la vieillesse soit une opportunité plutôt qu’une charge, ce qui serait plus facile au Japon qu’ailleurs, pas la surpopulation consacrée, ce qui amènera obligatoirement l’humanité à un massacre un jour d’une manière ou d’une autre, c’est absurde. L’hygiénisme japonais bien connu, qui n’a eu de cesse de s’exacerber au fur et à mesure que le pays s’urbanisait au gré de son développement et de son peuplement a mené à ce que la population, féminine en particulier, soit de plus en plus dégoûtée par le sexe biologique et recherche des sensations plus hygiéniques. Moi il me semble que c’est une conséquence naturelle de la surpopulation, une régulation. Comme la pollution qui devient mortelle, la ressource qui devient rare, l’espace qui devient trop cher en induit la promiscuité et de la pauvreté, etc… une fois une certaine densité de population atteinte.  D’être capables de dépasser ces barrières est un signe de l’adaptabilité humaine, en aucun cas de son intelligence.  Pour ma part, je pense que 100 habitants au km², c’est bien et que trois fois plus c’est un délire, nous sommes des humains, pas des fourmis.

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