Le Dessous des cartes

Le Dessous des cartes

Le Kazakhstan a longtemps vécu sous domination russe, que ce soit du temps des tsars ou de l’URSS. Aujourd’hui, sous la férule du dictateur Noursoultan Nazarbaïev, le pays met tout en œuvre pour se détacher de cette emprise en développant activement ses relations avec la Chine et l’Europe.
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Ndlr : Avec le petit commentaire impérialiste qui va bien à la fin. Relever qu’Azarbaïev est un dictateur corrompu en précisant que la richesse ne profite qu’à lui… alors que quelques secondes avant, on apprenait que la pauvreté a été divisée par 15 en 15 ans et le chômage par deux.   Décidément, l’Occident a de la peine à concevoir que son modèle politique n’est pas le seul et se sent obligé de mettre son grain de sel partout. De fait, le Kazakhstan est une démocrature, comme le Rwanda, qui permet à son président de faire évoluer les choses positivement pour tout le monde sans se retrouver face à des opposants et des médias dans les pattes qui s’opposent et critiquent pour le principe sous prétexte de liberté d’expression, quittes à éroder les bénéfices pour la population.   Non, la démocratie n’est pas forcément le meilleur moyen d’évoluer. Pour cela,encore faut-il que la culture, le niveau socio-culturel, les ambitions populaires, s’y prêtent.   Au vu de la pertinence politique et du développement de son pays, je serai désormais moins enclin à l’opprobre sur le président Nazarbaïev que j’ai toujours considéré comme un abominable dictateur alors que je n’étais en fait que soumis à la propagande occidentale. Je n’en ferai pas un pote et je ne m’en ferai pas thuriféraire pour autant, mais je laisse désormais place au respect de sa réussite.

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