« Il ne me reste pas grand-chose pour vivre » : quatre retraitées racontent leurs fins de mois difficiles

« Il ne me reste pas grand-chose pour vivre » : quatre retraitées racontent leurs fins de mois difficiles

Alors que les retraités sont appelés à manifester contre la hausse de la CSG, quatre femmes à la retraite ont accepté de témoigner pour décrire leur quotidien.
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Ndlr : Jusqu’où faudra-t-il aller dans l’oppression avant d’accepter l’idée d’évoluer vers l’économie du 21ème siècle plutôt que de souffrir bêtement en paupérisant, en précarisant, comme si ça allait comme par magie permettre à l’économie d’aller mieux ?  Il n’est pas normal d’être à la retraite et de subir ça, tout simplement parce qu’un retraité n’a plus de marge de manoeuvre. Dans notre vie d’actif, lorsque tout va mal, on peut donner un coup de collier et s’en sortir, mais le retraité, lui, ne peut plus qu’attendre la fin. La moindre des choses est qu’elle soit à minima supportable.  D’autant que les retraités sont des gens qui ont du temps. S’ils ont de l’argent, ils contribuent directement à l’économie. Ils dépensent plus, font du bénévolat, en étant intelligents, les seniors pourraient être un ressort économique de la société, une couche socio-économique supplémentaire en lieu et place d’une vulgaire charge qu’il faut bien subir.

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