Pseudomonas aeruginosa is associated with 559,000 yearly deaths worldwide, and many of them come from hospital-acquired infections. A new study suggests it may be thriving in sterile environments by feeding on medical plastics. [Lire plus…]
Ndlr : Cette saloperie a failli avoir ma peau il y a 10 ans. Blessé, je lavais ma plaie au Dakin, qui n’a aucun effet sur cette bactérie. Ce faisant, je lui ai fait place nette et permis de se répandre. J’ai lutté plusieurs mois, sachant que si jamais elle entrait dans mon corps, c’était la fin. Alors, tous les jours, je nettoyais la plaie en la ponçant littéralement avec un gant de toilette. Le système médical, lui, faisait systématiquement ce qu’il ne faut pas faire. Jusqu’au jour où une jeune médecin a trouvé une idée avec une pommade, me disant que les bactéries font partie de la vie. Alors je me suis soigné sans me laver les mains. Autrement dit, j’ai contaminé ma plaie, qui a été colonisée par mon microbiote habituel, ce qui a contraint pseudomonas. La pommade prescrite a aidé à la cicatrisation et je me suis retrouvé hors de danger.
Et voilà que j’apprends que lorsque je mettais le pansement, en plastique, évidemment, en plus de lui nettoyer son 5 pièces et demi en attique avec terrasse au Dakin, je lui donnais à manger ?