Le marché de diamants synthétique pèse déjà plus de 21 milliards d’euros, les bagues de fiançailles américaines sortent des laboratoires, et Pékin verrouille ses machines. La France, elle, peaufine encore son appel à projets dans ce secteur prometteur. On ne brille pas tous de la même manière. (Lire plus…)
Ndlr : Et ça alors que le diamant synthétique est LE semiconducteur du futur, un marché immense, d’autant qu’on peut le produire à partir de CO2 et donc dépolluer le monde. Et là c’est trop tard, le marché a été pris par des entrants plus performants qu’il serait absurde de vouloir concurrencer. La France s’échine à louper scrupuleusement tous les coches pour sauver le 20e siècle. Elle s’acharne au nucléaire au lieu d’aller vers les renouvelables, alors qu’elle en était championne il y a quelques décennies, elle a loupé le coche du numérique où elle était pourtant championne. Tout ce qui pourrait d’une façon ou d’une autre l’amener au 21e siècle est repoussé parce que compromettant du 20e siècle.
