En Bretagne, Sylvie Le Cocq aide les agriculteurs à mieux gagner leur vie

En Bretagne, Sylvie Le Cocq aide les agriculteurs à mieux gagner leur vie

Sylvie Le Cocq, de Malguénac (Morbihan), propose aux agriculteur de changer leurs méthodes pour pouvoir mieux vivre de leur métier. Son concept : la rupture !
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Ndlr : Ca c’est intelligent. Seuls les mauvais agriculteurs ne gagnent pas leur vie. Jamais l’agriculture n’a rapporté autant qu’aujourd’hui. Ce sont toujours les mêmes, avec le même modèle et persuadés que c’est le seul possible qui râlent et font chier sur les routes.

Le potentiel d’économies est gigantesque chez ceux-là, dont les machines sont surdimensionnées, de même que les infrastructures et donc les crédits et qui pour les couvrir dilapident un pognon de dingue en intrants.

Ne pas labourer, c’est un tout petit peu de rendement en moins, mais c’est des centaines d’heures d’usure du tracteur et de consommation du carburant en moins. Semer sous couvert c’est économiser le désherbant et le tracteur, même si la production est plus faible elle est plus qualitative et moins onéreuse à produire. Ne traiter que là où c’est nécessaire, c’est une agriculture plus intégrée et donc bien moins polluante tout en économisant autant d’heures de machine et donc de carburant, d’usure, donc d’amortissement, de pannes…

Les heures de machine sont souvent très largement sous-estimées et le gain d’avoir une machine plus conséquente qui permet de travailler moins longtemps largement surestimé. De même, la rentabilité de traiter autant que possible pour assurer la récolte est très largement surestimée également. Il est bien plus rentable de risquer une petite partie de la récolte et de diviser par quatre le volume global des traitements. Ca n’entraînera au mieux qu’une perte de chiffre de 5%, alors que ça réduira les dépenses de culture de 60%.

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