Le plan prévoit 200 milliards d’euros de prêts pour les PME, 100 milliards de soutien au chômage partiel ainsi que 240 milliards d’aides via le mécanisme européen de stabilité, et ce sans conditions, comme le souhaitaient l’Espagne, l’Italie et la France. La question des “obligations corona”, une mutualisation de la dette, n’a en revanche pas été réglée par les ministres des Finances de l’Union européenne. [Lire plus…]
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