Comment le groupe Bolloré réduit ses anciens journalistes au silence, révèle Reporters sans frontières

Comment le groupe Bolloré réduit ses anciens journalistes au silence, révèle Reporters sans frontières

Dans une vidéo, doublée d’une enquête qui sera publiée mardi 18 mars, Reporters sans frontières alerte sur les clauses de confidentialité du groupe Bolloré qui interdisent à des journalistes licenciés de parler de leur ancienne société. [Lire plus…]

Ndlr : Autrement dit, des journalistes véreux, qui ont accepté de signer une clause de confidentialité contre de l’argent, se plaignent de ne pas avoir le droit de parler. Mais en réalité ils sont aussi pourris que Vincent Bolloré, c’est de la corruption, personne ne les obligeait à signer ce document. Et le pire c’est que l’on voit dans le reportage que ça porte à conséquence pour la journaliste qui elle a eu le courage de se défendre et qui aurait besoin du témoignage de ses anciens collègues qui n’osent pas parler par lâcheté, de peur de devoir rendre l’argent. En quoi Bolloré est-il plus pourri que ces journalistes ? Si il peut faire ça il a évidemment raison de le faire. Je dois dire que je me faisais une plus haute idée des journalistes. Que quelques-uns acceptent de signer ne m’aurait pas étonné, mais des centaines, je suis déçu.

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