Les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur, SNCF Voyageurs et Bombardier Transport ont lancé ce 25 janvier l’expérimentation des TER à batteries, un projet pilote qui vise à diminuer les émissions de carbone du transport ferroviaire. Il s’agit de remplacer par des batteries les moteurs diesel de cinq rames AGC bi-mode, pour une mise en service en 2023. [Lire plus…]
Ndlr : C’est BEAUCOUP plus intelligent que le train à hydrogène. Tout d’abord parce qu’il est énergétiquement beaucoup plus efficient, le rendement des batteries étant très supérieur à celui de l’hydrogène. Mais, aussi, les infrastructures sont plus simples, puisqu’il suffit d’avoir des petits bouts de caténaire dans les gares pour recharger les batteries lors des arrêts. Cela peut-être un rail entre les voies, une plaque d’induction, un rail de contact latéral, peu importe. Et de surcroît il est facile de convertir les diesel-électriques existantes, en remplaçant simplement le moteur par un pack de batteries. N’importe quelle motrice bi-mode est convertible sans aucune modification notable, il suffit d’enlever le groupe électrogène et de le remplacer par un pack de batteries de même intensité, c’est tout. Et en installant des panneaux solaires sur le toit des gares, le train roule alors à l’énergie renouvelable. Et on peut également installer des panneaux solaires sur le toit des voitures.