La décision du président américain, qui a annoncé jeudi le retrait des États-Unis de l’accord de Paris, a provoqué une vague de réactions indignées de grands patrons américains. Certains ont d’ailleurs indiqué qu’ils arrêteraient de le conseiller.
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Ndlr : Bloomberg avertissait que les conséquences économiques d’une sortie de l’accord de Paris seraient négatives pour les Etats-Unis. Comme dit précédemment, les collectivités et les entreprises ont une autre vision. Et ce même si ce n’est pas par pure bonté d’âme que même les pétrolières soutiennent l’accord de Paris, mais parce qu’elles sont bien conscientes de ces conséquences économiques absurdes. Il faut donc bien se garder d’accorder trop d’importance à la décision de ce demeuré ridicule qui n’est quand même que président. Ce n’est que le gouvernement qui quitte l’accord de Paris, pas les Etats-Unis qui eux, malgré le divorce, restent dans le foyer conjugal. Et Trump ne sera pas là bien longtemps, à la suite de quoi l’accord de Paris sera pleinement restauré et l’évolution reprendra le cours normal des choses. Peut-être avec une Amérique en plus grosses difficultés économiques toutefois, parce que les conséquences du trumpisme, à terme, feront très mal économiquement. Trump laissera derrière lui un pays qui aura régressé, avec encore plus de misère et d’inégalité, une dette qui aura explosé, avec des marchés verrouillés partout dans le monde.