Agriculture urbaine : ce dont elle est capable (et ce qu’elle ne pourra jamais faire)

Agriculture urbaine : ce dont elle est capable (et ce qu’elle ne pourra jamais faire)

ALIMENTATION – Qui se souvient encore qu’il y a moins de 150 ans, Paris était encore entourée de fermes, d’élevages, bref d’une ceinture agricole qui nourrissait la ville… Ou encore que deux siècles plus tôt, la capitale était parsemée de champs, et même de pâturages où paissaient vaches et cochons?
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Ndlr : Enfin un article intelligent! Quand je pense aux conneries que j’ai vues il y a quelques temps à propos de la prétendue « redécouverte de techniques agricoles perdues depuis le XIXème siècle à cause des lobbys de l’agriculture industrielle » (LOL) E…Et de préciser qu’à l’époque Paris était autosuffisant, que les maraîchers faisaient jusqu’à 3 récoltes par an, grâce à la culture « en couches chaudes » (technique consistant à cultiver sur une couche de fumier frais dont la décomposition réchauffe la terre et donc booste la culture). Et patati et patata…Je suis passé une fois de plus pour un rabat-joie en faisant quand même remarquer qu’à l’époque les vaches paissaient à Montmartre qui n’était alors qu’un petit village d’ouvriers qui avaient tous leurs potagers. Forcément, ça fait la différence. Et là, cet article tient compte de cette réalité.

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