Et si le high-tech était bel et bien l’avenir de l’agriculture ? Des nouveautés font un peu figure de gadgets aujourd’hui mais elles pourraient bien révolutionner le monde agricole de demain. Reportage dans la Somme.
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Ndlr : Le modèle que je préconise depuis si longtemps se précise. Non seulement d’être exploitant agricole devient plus agréable et plus passionnant, mais en plus c’est plus porteur de richesse, de par la contribution apportée au développement industriel, de la robotique, la « French Tech », l’IA, la cybernétique, qui sont des matières à bien plus forte valeur ajoutée. Ainsi l’agriculture retrouve son rôle de créateur de richesse au sein de l’économie. L’exploitant voit son travail soulagé, lui laissant du temps pour des activités plus contributives sur internet dans l’économie collaborative ou dans le cadre de la diversité d’activités comme le gîte à la ferme ou la vente directe. D’un point de vue de la rentabilité, ce n’est que du bon, parce que le coût d’un de ces robots est bien inférieur à celui d’un salarié la première année et ensuite c’est trois fois moins cher en entretien chaque année. Ce qui rend la paysannerie à taille humaine à nouveau sexy pour ceux en recherche d’une meilleure qualité de vie. Enfin et ce n’est pas des moindres, c’est bien plus écologique, parce que dans l’avenir ces robots pourront être en matériaux polymères à base de CO2 atmosphérique. Ainsi, chaque machine construite contribuera à la dépollution de l’atmosphère et donc la lutte contre le réchauffement climatique. Ceci sans compter que c’est une agriculture sans pesticides, les robots menant inlassablement la lutte contre les ravageurs et les mauvaises herbes. Elle est pas belle la vie ?