Remplacer l’huile de palme, un désastre écologique mais une merveille pour l’industrie agroalimentaire, serait un bienfait pour la planète. Les alternatives proposées ne connaissent pas u
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Ndlr : Et, donc, comme le tournesol est six moins productif, il faudra déboiser six fois plus pour produire la même chose. Peut-être pas au même endroit, cela dit, la belle affaire. Sans compter que le tournesol se cultive annuellement, avec des tracteurs et des pesticides et qu’il ne donne pas de travail aux locaux. Le palmier à huile, lui, a une durée de vie décennale, sa culture n’est pas mécanisable, ce qui implique de la main d’oeuvre et pas de consommation de pétrole ni de machines, il ne nécessite pas de pesticides, ou peut-être un peu d’herbicide pour le confort des ouvriers aux pieds des palmiers. L’huile de palme est de très loin la production agricole la plus écologique et la moins destructrice en plus d’être la plus porteuse de développement. Cette « alternative » ne vise qu’à répondre à l’idéologie ubuesque des pseudos-écolos obnubilés par leurs croyances ridicules et qui permettra de ramener chez nous la production au détriment des pays producteurs d’huile de palme. Encore une fois, c’est un petit peuple lointain à qui on va prendre le peu qu’il a pour se donner bonne conscience qui va faire les frais de ces croyances ridicules sous un prétendu prétexte de moralisation. Comme si les chevreuils et les sangliers vivaient mieux dans les champs de tournesol que les orang-outans dans les champs de palmiers… mais bon, les anti-palme sont tellement cons qu’ils n’y verront que du feu.