À Vannes, Mireille Avril s’est lancée dans la construction de maisons en roseau et tente d’implanter une filière d’éco-construction basée sur ce matériau. Un projet pionnier soutenu par l
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Ndlr : Ca c’est idéal. Le roseau pousse très très vite et il a des tas d’avantages en termes de résistance. Mais alors il faudra améliorer les éléments structurels, parce que du résineux, comme on le voit sur l’image, ça pourrit très vite dans les parties basses, en 50 ans la maison est délabrée. Je pense qu’il devrait être possible d’inventer de l’aggloméré de roseau compressé avec une résine polymère biologique, comme à base d’amidon par exemple. Ou alors utiliser le bambou ? A noter qu’on fait déjà des briquettes en roseau pour se chauffer depuis des lustres, parce que chaque année on peut le récolter. Ensuite on le presse, on met les briquettes à sécher deux ans et elles s’utilisent comme du bois de chauffage. Là encore on pourrait peut-être faire des briquettes en bambou déchiqueté ?