Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, pour la première fois en visite à Monaco mercredi, a estimé qu’il serait «bientôt trop tard» pour sauver…
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Ndlr : Peu importe que les émissions de carbone humaines soient responsables ou non du réchauffement climatique. Il ne faut pas appréhender le discours de Ban-Ki-Moon comme un discours de propagande anti-CO2. Peu importe l’incidence du carbone sur le climat, le fait est que l’homme, très largement surpeuplé, s’étrangle, s’étouffe, en détruisant non pas la planète, mais juste les conditions adéquates à sa survie. Le carbone est en tous les cas un marqueur. De pêcher du poisson engendre du carbone (un chalutier comme on peut en voir dans les ports de pêche français consomme 8’000l à 13’000l par jour de fioul). De taxer le carbone augmente le prix du poisson, qui se vend moins, donc on en pêche moins, donc on produit moins de carbone, donc on paie moins de taxe et on détruit moins la ressource. Toute activité humaine injecte du carbone dans l’environnement, sans exception. Le fait même d’exister produit du carbone. Il est donc bien un marqueur qui permet de mesurer le comportement humain. On nous dit que pour rendre la planète vivable après 2050 pour 9 milliards d’êtres humains (mais quelle folie, l’homme est fou, on est déjà très très fortement surpeuplés aujourd’hui, on l’était déjà à 4 milliards d’individus…mais l’homme est fou) il faut « réduire la production de carbone à 20% en-dessous de celle de 1990 ». Bien sûr, c’est mignon dit comme ça. Mais ce seuil signifie LA MOITIE de ce que nous produisons aujourd’hui. Il n’y a pas 36 solutions : il faut passer au tout électrique! L’électricité est la seule énergie qu’on trouve partout, en quantités phénomènales, dans la nature, à condition de l’exploiter. La seule manière complètement inefficace et vraiment dangereuse de produire de l’électricité, c’est le nucléaire…http://sco.lt/8oUmJ7http://sco.lt/6K4zY1http://sco.lt/6XdcG1http://sco.lt/5ofNfFhttp://sco.lt/9GGAjZhttp://sco.lt/5BNZRZ