En fixant des micro-capteurs sur le dos des abeilles mellifères, un scientifique australien espère que ces insectes le mèneront vers une explication du déclin dramatique de cette espèce. Près de dix mille abeilles bourdonnent tranquillement sur la lointaine Tasmanie avec des « sacs à dos » portant des capteurs d’environ la taille d’un grain de riz. Ces … Suite
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Ndlr : L’article est d’une très très piètre qualité éditoriale, accordant un rôle démesuré à l’abeille. La video commence même par citer la célèbre phrase d’Einstein qu’il n’a jamais dite. Non, si les abeilles venaient à disparaître, ce ne serait pas la fin du monde. Ce qui n’empêche que leur disparition est un grave problème, parce qu’au-delà du fait qu’elles sont une de nos plus proches « collaboratrices » naturelles, il y a toute la biodiversité derrière, l’abeille n’est qu’un élément parmi d’autres tout aussi utiles mais auxquels on pense moins, parce qu’on ne sucre pas son thé le matin avec sa production. L’article cite un rapport et renvoie sur le site de l’IPBES qui lui est bien moins catastrophiste, bien plus réaliste. … Reste la démarche, technologique, presque fantastique.