Les lourdes retombées économiques et sociales de la crise de 2008 n’ont pas servi de leçon à bon nombre d’économistes. Olivier Passet, directeur des synthèses de Xerfi, alerte sur les dangers de cette
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Ndlr : Eh bien, il est pas mal cet Olivier Passet… C’est toujours le même problème, si on veut retrouver de la croissance, il faut extraire autant que faire se peut l’humain du schéma productif. Avec pour conséquences plus de productivité, plus de compétitivité et plus de disponibilité de l’humain pour de nouvelles activités et une économie plus démocratique et plus écologique, la société étant plus proche de l’environnement que la finance. Dans l’état actuel des choses, ceux qui ont le pouvoir de changer les choses sont ceux qui bénéficient du système qui les gave d’argent, pourquoi feraient-ils autrement ? C’est d’en-bas que viendra le changement et la #TransitionSociétale qui apportera la réponse à ce cercle vicieux dont nous ne sortirons soit que par l’intelligence collective, soit par la faillite de notre civilisation.