Dans une étude publiée mercredi, la banque centrale estime que la définition actuelle du taux de chômage est beaucoup trop restrictive et l’élargit, notamment, aux personnes en situation de sous-emploi. Ce qui fait gonfler le taux en France à 18%.
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Ndlr : C’est évidemment beaucoup plus exact… mais c’est encore faux ! En vérité, le chômage devrait être considéré sur la base du nombre total de travail souhaitées par l’ensemble de la population active et le nombre d’heures total effectivement réalisées. Le chômage, il y a belle lurette que des scientifiques préconisent de le mesurer par sondage, en posant la question directement à la population sur une base précise reposant sur un nombre d’unités prédéterminées de manière simple en posant la question de savoir combien d’heures il leur manque pour travailler autant qu’ils le voudraient sur un maximum de 35 heures, sur un maximum de 45 heures ? En tous les cas, on voit bien, avec cet éclairage, si on ajoute à ça l’énorme part de bullshit jobs, que le travail a largement disparu depuis longtemps. Et, donc, si au lieu d’exploiter les gens à ne servir à rien en pondant des lois visant à parasiter le système pour permettre à des gens de pomper leur part, comme un impôt dissimulé, on leur permettait de contribuer dynamiquement à l’économie, le gain de croissance serait considérable, en même temps qu’un gain démocratique et social.