En autorisant le survol des habitations, la loi sur les transports par câble en milieu urbain offre un nouveau marché au téléphérique. Malgré la
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Ndlr : Je soutiens le téléphérique urbain depuis des années. Et j’ai partagé ici-même des articles de « spécialistes » qui affirmaient « qu’il faut faire attention, le téléphérique n’est pas adapté à toutes les configurations », « qu’on n’a pas encore suffisamment de recul sur la sécurité » et autres âneries. Le téléphérique a tous les avantages, c’est presque invisible dans le paysage, ça ne nécessite pas d’exproprier tout ce qui se trouve sur la future voie de communication, ni de couper une ville en deux durant 20 ans de travaux abominables pour des coûts délirants pour faire passer un tram que finalement on aurait dû faire passer ailleurs. Mais, surtout, le téléphérique, outre le fait qu’il n’est pas cher à l’installation, pas cher à l’entretien, pas cher en accidents de la circulation, en plus il est AUTOMATIQUE. On entretient un téléphérique un peu comme on entretient un ascenseur.