Impact sur la croissance, coût budgétaire, effet sur les salaires, etc. Dans une série d’études publiées ce mardi 9 novembre par le Conseil d’analyse économique, organisme placé auprès de Matignon, plusieurs universitaires font le point sur les véritables retombées économiques de l’immigration. Décapant. [Lire plus…]
Ndlr : Les immigrés sont des gens qui ont à minima quitté leur pays, leurs proches, par définition, c’est le symptôme d’un esprit d’indépendance. Parfois ils ont quitté un pays en guerre ou une condition particulièrement misérable, ce sont des gens rompus à la débrouillardise. Ce sont des gens qui ont pris une énorme décision, conséquente sur leur vie, parfois au risque de leur vie, ce sont des décideurs, des entreprenants, des gens qui avancent. Lorsqu’ils proviennent de pays difficiles, ce sont des gens qui ont une profonde conscience des autres, dans leur pays, des autres dépend la survie, ça les rend très empathiques, radicalement contraires à l’individualisme dégénérescent qui se pratique chez nous, c’est la raison pour laquelle bien souvent lorsqu’un acte héroïque est commis, alors même qu’ils représentent une petite minorité de la population, il est du fait d’un immigré, même sans papiers, brimé, pourchassé, mais qui n’a pas renoncé à son humanité pour autant. Sur un chantier, celui qui sourit et répand la bonne humeur, c’est l’immigré, sous-payé, surexploité, subissant souvent des brimades racistes : « hey King-Kong, lâche ta banane et vient pousser la brouette ».
La vérité est que l’immigration est une des principales ressources économiques. Economique au sens large, ce qui inclut la notion de société, avec la pluralité, qui amène de la diversité économique, source de prospérité. N’oublions jamais que les plats préférés des français ne sont statistiquement pas la blanquette de veau ou le gigot d’agneau, mais plutôt le couscous ou l’houmous.