Les marchés financiers vivent un krach généralisé

Les marchés financiers vivent un krach généralisé

La chute du baril de pétrole a soufflé un vent de panique sur des marchés déjà éprouvés par le coronavirus, dans l’espoir d’interventions monétaires et budgétaires. [Lire plus…]

Ndlr : «Les banques centrales ont réussi, depuis dix ans, à remettre à plus tard le risque de récession, poursuit le gérant de Carmignac. Avec pour corollaire une hausse du taux d’endettement qui pose un problème potentiel de solvabilité.»

Il faut le lire ça, c’est exactement ce que je dis depuis toutes ces années où j’explique qu’avec cette politique de taux directeurs bas, non seulement on vit à crédit sur le dos des émergents en les privant des investissements dont ils ont besoin et donc de nos futurs débouchés, mais, surtout, on surendette nos entreprises obsolètes qui trouvent leur compétitivité dans la dette. Le problème n’est pas leur disparition, puisqu’étant obsolètes elles auraient dû disparaître depuis longtemps au lieu qu’on s’y accroche pour préserver l’emploi plutôt que d’évoluer. Non, le problème, c’est qu’elles vont toutes péter en même temps ! Littéralement, si les banques centrales revenaient à l’intelligence (le contraire de Trump, quoi), autant dire que l’économie occidentale s’effondrerait comme un château de cartes. Si à ce moment-là nous avons un Trump au pouvoir aux USA dont le seul objectif c’est de délirer comme un sociopathe, pour peu qu’en Europe l’Union soit chancelante, ce serait la fin de la civilisation occidentale dominante.

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