L’entreprise française Leroux & Lotz a développé une technologie permettant, après installation sur des équipements industriels existants, de capter directement dans les fumées le CO2 émis par leurs process. Une technologie actuellement testée dans le cadre du démonstrateur industriel Jupiter 1000, piloté par GRTgaz à Fos-sur-Mer. Objectif à terme : produire du méthane de synthèse à partir du CO2 capté et d’hydrogène vert. [Lire plus…]
Ndlr : C’est très bien, à condition qu’on ne considère pas ça comme une décarbonation de l’industrie. Les émissions doivent être soumises aux quotas, qu’elles soient captées ou pas. Libre à l’industrie de vendre le carbone capté et de choisir entre le paiement de certificats carbone et la vente du carbone ou la décarbonation de sa production et donc qu’il n’y ait plus rien à capter. D’autant que de produire du méthane à partir de sources qu’il faut éviter, n’est pas une énergie renouvelable, juste un moyen d’exploiter mieux la pollution.