Contexte publie les scénarios électriques travaillés par l’Agence de la transition écologique dans le cadre de son chantier prospectif « Transitions 2050 ». Si les conclusions contredisent la communication présidentielle, notamment sur le nucléaire, elles rejoignent majoritairement celles de RTE, défendent ses auteurs. [Lire plus…]
Ndlr : C’est juste que Macron a fait le choix d’éviter la contrainte sociale, le monde restrictif et liberticide qu’il faudrait avoir pour cela. Il a choisi N2, il aurait pu choisir plus modéré, soit. Mais comme son plan ne se réalisera pas dans le temps, ce n’est pas un problème, d’ici à ce que ça se passe nous aurons changé de politiques, les technologies auront évolué rendant un scénario plus ENR plus plausible. Et donc il initie un chantier, mais qui ne se terminera pas tel qu’il a été projeté. Il n’en reste pas moins que le scénario renouvelable est une abomination sociale. Une montagne de contraintes avec le risque que la population rejette en bloc la transition.
On le sait, le 100% ENR est possible : https://lmc.today/tag/100-renouvelable/
Mais avec 200 Twh/an de consommation en moins et donc des restrictions, des sanctions, des contraintes, une régression civilisationnelle. Pour l’atteindre, il aurait fallu s’y engager il y a 10 ans, aujourd’hui, c’est trop tard. Le monde moderne est déjà bien assez liberticide et contraignant sans devoir se priver de tout par idéologie. S’engager sur une voie ENR avec les contraintes annoncées que cela représente eut été clairement de la bêtise dont le socle n’est qu’idéologique (sobriété, économie du partage, ragnagna). Et un tel scénario ne peut pas fonctionner, il est radicalement contraire à la nature humaine dont l’essence est de progresser, pas de régresser