Les chiffres du premier semestre révèlent la grande forme des 36 sociétés de l’indice phare de la bourse de Paris.
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Ndlr : Et ce bénéfice mirobolant n’est dû qu’à une seule et unique chose : les salaires non versés grâce à l’effondrement du nombre d’heures travaillées par des humains en proportion de la création de richesse depuis la fin des Trente glorieuses. Ce chiffre, c’est l’inégalité qui se creuse, les employeurs qui se mettent dans la poche les salaires qu’ils ne versent plus pendant que la population vit de subsides de l’Etat qu’il finance par l’emprunt puisqu’il n’encaisse plus non plus les charges sociales correspondantes qui grèvent normalement ces salaires qui ne sont plus versés grâce à l’automatisation.
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